En pensant aux championnats du monde.
Dans le cadre de la préparation pour les championnats du monde devant se dérouler du 13 au 20 décembre 2020 en Serbie, les trois équipes nationales (lutte libre, lutte gréco-romaine et féminine) effectuent un stage à Hammamet qui se poursuivra jusqu’au 28 de ce mois. L’équipe de lutte libre est composée de cinq athlètes, à savoir Ayoub Barraj (74 kg), Haithem Dakhlaoui (70 kg), Mohamed Sadaoui (97 kg), Maher Ghanemi (74 kg) et Abdelmounaim Abdouli (125 kg) qui sont encadrés par l’entraîneur national Rochdi Rhimi. L’équipe de lutte gréco-romain compte quatre lutteurs, en l’occurrence Amjed Moafi (77 kg), Aziz Landoulsi (72 kg) , Amine Guinichi (130 kg) et Soliman Nacer, tous encadrés par l’entraîneur national Mohamed Bergaoui.
Marwa Amri en chef de file
Quant à l’équipe féminine, elle est composée de cinq athlètes ayant à leur tête la championne du monde Marwa Amri (62 kg). Les quatre autres autres sont Sarra Hamedi (50 kg), Cyrine Boucetta (57 kg), Zeineb Seghaier (68 kg) et Khadija Jelassi (60 kg). Elles s’entraînent sous la férule de deux entraîneurs nationaux, à savoir Hassen Mastouri et Fawzi Kharrazi. Sur ce, en raison de l’absence de compétitions internationales amicales (pandémie oblige), trois équipes nationales seront rassemblées de nouveau pour effectuer un autre stage de préparation au mois de novembre.
Deux grands défis
Notre élite aura à participer au début de l’année 2021 à deux grandes compétitions. A commencer par les championnats d’Afrique prévus au mois de février. Ensuite, viendra le tour du tournoi qualificatif aux Jeux olympiques de Tokyo 2021, programmé au mois de mars. Les deux compétitions se dérouleront dans les villes marocaines de Marrakech et de Jadida : «Bien que nos lutteurs soient jeunes, notre objectif primordial est la qualification d’un bon nombre d’athlètes aux Jeux de Tokyo 2021. Ils gagneront en expérience et en maturité pour s’illustrer à terme aux olympiades de Paris 2024», a indiqué le DTN Ahmed Khedhri.